C’est le début pour DRAGON PONY ! Le boyband a sorti son premier EP le 26 septembre. Son nom : Pop Up.
Le mini-album regroupe 5 titres que le quatuor avait déjà joués lors des scènes et buskings d’avant leurs débuts. Le choix s’est fait selon les retours du public.
Particularité : tous les morceaux sont autoproduits. En effet, Ahn Tae-kyu, So-hyun, Kwon Se-hyuk et Ko Kang-hoon sont à la fois auteurs, compositeurs et producteurs.
Pop up, nom de l’album et de la chanson titre
Parmi les morceaux, c’est Pop Up qui a été retenu comme chanson titre. Un choix que le groupe explique simplement : « Nous voulions une chanson où le public puisse crier et sauter avec nous, comme les cinglés que nous sommes. » L’autre raison ? « C’est la chanson qui correspondait le mieux à notre propre slogan ‘Le cri passionné des garçons imparfaits’. »
La chanson, comme un message autobiographique, exprime l’idée de ne pas suivre les normes fixées par la société, c’est-à-dire un chemin conçu uniquement pour être droit.
Simple et efficace… en un titre, les membres de DRAGON PONY ont trouvé leur meilleure définition, eux qui déjà, avant leurs débuts, avaient fixé des défis à atteindre pour sortir leur premier opus. Parmi eux, celui de remplir une salle de 500 personnes pour leur premier concert.
Depuis, ils ont réalisé plusieurs festivals avec un intérêt croissant pour leurs scènes.
Des ambitions à la mesure de leur talent
Alors que DRAGON PONY est déjà donné comme l’incarnation et le moteur de la nouvelle génération de boybands, les quatre ont déjà d’autres objectifs et non des moindres : devenir tête d’affiche de célèbres festivals étrangers comme Lollapalooza ou Glastonbury. Une ambition plus qu’un rêve au vu de leur talent !
En attendant, ce premier EP nous fait plonger dans leur univers musical, avec une sonorité unique, tout en offrant des rythmes variés. Ainsi Morse Code affiche un ton rafraîchissant pour évoquer les souvenirs de jeunesse.
Ouroboros est, lui, un rock fort avec des paroles critiques contre ceux qui ignorent les problèmes sociaux. Traffic Jam est plus doux, alors que Pity Punk affiche un son punk.
Cinq titres donc, pour un album et un groupe à découvrir sans hésitation…
Crédit photo : Antenna Entertainment
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